Exploitation industrielle de granite et problèmes environnementaux dans la ville de Korhogo (Côte d’Ivoire)

Résumé

L’exploitation de granite à Korhogo est pratiquée depuis des décennies de façon artisanale. Le problème de dégradation de l’environnement par l’industrie de concassage est de plus en plus accru. La collecte des données s’est appuyée sur quatre techniques à savoir la recherche documentaire, l’observation, l’entretien et l’enquête de terrain. L’exploitation industrielle de granite a engendré des problèmes environnementaux notamment l’émission de poussière dans l’atmosphère, de gaz et d’odeurs nauséabondes, de bruits, la pollution des eaux de surface, la pollution sonore et l’ensablement des vallées. Ces nuisances ont une incidence sur le milieu physique et sur la santé des populations à travers la toux, les infections des yeux, et le rhume. 58,82 % des enquêtés souffrent du rhume, 17,65 % d’infection des yeux et 23,53 % de toux. Ces maladies sont dues à l’inhalation de poussière et de fumée.

Abstract

The exploitation of granite in Korhogo is practiced for decades in an artisanal way. Following the strong demand for materials built after the political military crisis in Côte d'Ivoire, industrial exploitation is emerging. The data collection method was based on four techniques: document retrieval, observation, maintenance and field investigation. L’exploitation industrielle de granite a engendré des problèmes environnementaux notamment l’émission de poussière dans l’atmosphère, les gaz et les odeurs, les bruits, la pollution des eaux de surface, la pollution sonore et l’ensablement des vallées. Ceux-ci ont une incidence sur le milieu physique et sur la santé des populations à travers la toux, les infections des yeux, et le rhume. Les populations enquêtées autour de la carrière de Gnambélégué sont victimes de maladies environnementales. In fact, 58.82% of respondents suffer from a cold, 17.65% from eye infection and 23.53% from coughing. These are caused by regular inhalation of dust and fumes.

Introduction

L’exploitation du granite présente des risques sur l’environnement et sur la société (K. A. KOUAME, A. P. AYEMOU et K. G. N’GUESSAN, 2017, p. 1). En 2017, l’on a recensé neuf (09) autorisations d’exploitation de carrière industrielle de granite qui ont été octroyées par le gouvernement, portant à soixante-deux (62) le nombre total d’autorisations d’exploitation de carrière industrielle de granite. Pour la même année, la production de matériaux concassés s’est élevée à environ 3 672 662 tonnes, (KONE, 2018 p.1). Dans le nord de la Côte d’Ivoire, précisément dans la ville de Korhogo, l’exploitation de granite a commencé par des carrières artisanales. Cette activité est dominée par une population majoritairement féminine (65,98 %, KASSI, 2020 p. 4). Avec l’avènement en 2016 de la société Soukpafolo Bitume Afrique (SBA) à Korhogo, l’exploitation de granite va connaitre une modernisation. Malheureusement, la pratique de cette activité avec des moyens et techniques qui ne respectent pas les normes environnementales entraine des impacts négatifs sur la population et l’environnement. Comme l’explique, A. C. JACQUOT (2010, p. 9) :

« Les carrières véhiculent une image largement négative dans les discours des élus, des habitants. L'emploi de termes forts est courant : "destruction", "dégradation du paysage", "blessures"... La transformation d'un site remet en question le cadre de vie des habitants, lequel fait partie de leur univers quotidien, qu'ils ont choisi, auquel ils sont habitués. La perception des individus sur les exploitations de matériaux est évidemment conditionnée par leur propre rapport à cette exploitation, à savoir la distance qui les sépare du site et des conséquences liées à l'activité, bruit, poussières, trafic, vue dégradée... ».

Est quelle l’incidence l’exploitation industrielle du granite sur l’environnement et sur les populations ?

Cette étude vise à évaluer les problèmes environnementaux et leurs impacts environnementaux liés à l’exploitation industrielle de granite. De façon spécifique, il s’agit d’analyser les caractéristiques des exploitants le processus de production et d’identifier les problèmes environnementaux et leurs impacts dans la ville de Korhogo.

1. Méthodologie

1.1. Le cadre d’étude

La ville de Korhogo est situé au Nord de la Côte d’Ivoire dans la région du Poro entre les 8°26 et 10°18 de latitudes Nord ; et les 5°10 et 6°19 de longitudes Ouest. Il s’étend sur une superficie de 12 500 km² soit 3,9% du territoire national. Il est limité au Nord par le département de M’bengué et Ouangolodougou, au Sud par le département de Dikodougou, à l’Est par le département de Sinématiali et Niakaramandougou et à l’Ouest par le département de Boundiali et Mankono. Précisément, la ville de Korhogo est limitée au nord par le 10° parallèle, au sud par le 5° parallèle, à l’est et à l’ouest par le 5° et 6° de longitude ouest (Y. BAMBA 2018 p. 13 in Beaudou et al, 1980). La figure 1 localise la zone d’étude.

Fig16_1.png

1.2 Technique de collecte de données

La  collecte des données s’est appuyée sur quatre techniques à savoir la recherche documentaire, l’observation, l’entretien et l’enquête de terrain. La recherche documentaire s’est faite dans les bibliothèques de l’Université Peleforo Gon Coulibaly et de l’Alliance Franco-ivoirienne. Elle s’est étendue aux archives de  la Direction régionale des mines et de la géologie de Korhogo. Les informations collectées ont permis de comprendre les concepts de concassés, d’impacts et de la règlementation en matière concassage de granite. L’observation a consisté à parcourir les carrières pour  apprécier le mode d’exploitation, les déchets produits et les impacts environnementaux.

Les entretiens ont été réalisés auprès du service technique de la mairie, de la direction régionale des mines et géologie, les chefs gérant les carrières. Les informations ont porté sur les systèmes de gestion de l’environnement et les risques sanitaires

Quant à l’enquête, des questionnaires ont été administrés aux chefs de ménages du quartier sur la base d’un sondage par quotas. L’échantillon d’étude est de 102. La taille de l’échantillon a été obtenue à partir de la formule mathématique ci-après. Les données de l’Institut National de la Statistique de 2014, montrent que le nombre total de ménages de notre zone étude est de 1012 ménages. 

Fig16_11_0.png
  • n = Taille de l’échantillon ;
  • N = Taille des ménages ;
  • Z = Coefficient de marge (déterminé à partir du seuil de confiance) ;
  • e = Marge d’erreur ;
  • P = Proportion de ménage supposés avoir les caractères recherchés. Cette proportion variant entre 0,0 et 1 est une probabilité d’occurrence d’un événement. Dans le cas où l’on ne dispose d’aucune valeur de cette proportion, celle-ci est fixée à 50% (0,5) ;
  • Q = 1 – P.

    Application de la formule

    Si on présume que P = 0,50 donc Q = 0,50 ; A un niveau de confiance de 95%, Z= 1,96 et la marge d’erreur e = 0,05, on a n=102.

    L’enquête a été menée auprès des populations environnantes. Le nombre de personnes interrogées a été défini à partir d’un choix raisonné. Un échantillon de 102 personnes a été retenu selon le genre, le niveau d’instruction.  

    Aussi, l’enquête a porté sur l’ensemble des employés l’unité industrielle en fonction du genre, du type du niveau d’instruction. Ce qui a donné un effectif de 74 employés. Suite à l’obtention des données, des analyses statistiques, descriptives et cartographiques ont été réalisées. Les logiciels Excel et Word ont permis respectivement d’obtenir des tableaux statistiques et la saisie et la mise en forme du texte. Des outils de Système d’Information Géographique tels que Arc view et Adobe illustrator ont permis la réalisation des cartes.

    2 Résultats

    2.1 Présentation du processus de production industrielle de granite concassé

    2.1.1 Production industrielle de granite

    La carrière industrielle de Gnambélégué couvre une superficie de 60 hectares Dans cette carrière, le processus d’extraction des blocs de granite et la production des concassés se déroule de manière mécanique. La photo 1 présente la carrière industrielle de Gnambélégué.

    Fig16_2.png

2.2.2 Processus de production industrielle de granite concassé

2.2.2.1 Les engins et leurs utilités dans le processus de concassage de granite

L’exploitation industrielle de granite nécessite l’utilisation de plusieurs engins  dont la perforeuse, la concasseuse,  la chargeuse, (photos 2, 3 4 et 5), etc.

Fig16_3.png

A : La perforeuse permet de faire des trous dans les blocs de granite où on y introduit des explosifs. Par la suite, les explosifs sont mis en feu. Après l’explosion des explosifs, on obtient des blocs de granite d’environ 30 à 50 cm de longueur.

 

B : La concasseuse dispose d’un grand entonnoir dans lequel les bennes  déversent le granite pour être concassé. A l’issue du concassage, on obtient différents types de concassé avec des diamètres compris entre 15/25 mm, 0/8mm, 10/15mm etc.

2.2.2.2 L’exploitation industrielle de granite, une activité pourvoyeuse d’emploi

L’unité d’exploitation industrielle de granite emploie 74 personnes. Le tableau 1 présente la répartition des employés par sexe.

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 89, 19 % des employés de l’usine de concassage de granite sont des hommes,  la junte féminine ne représente que 10,81%. C’est une entreprise qui participe à la réduction du chômage en créant de l’emploi. L’exploitation de granite de type industriel dans la ville Korhogo est dominée par population masculine.

2.2.2.3 Production et les prix du granite concassé

L’entreprise d’exploitation industrielle de granite de Gnambélégué produit plusieurs catégories de concassé à des prix différents (tableau 2).

Fig16_5.png

 

C : Après d’avoir dynamité les gros de blocs granite, les chargeuses récupèrent les blocs de granite d’environ 30 à 50 cm de longueur pour charger dans les bennes.

D : Le lorsque les bennes arrivent  au niveau du pont à pesage, elles sont pesées à vide, une fois chargées elles sont à nouveau pesées. Le poids de la charge est obtenu en faisant la différence entre le poids bruit et le poids à vide.

Le prix du concassé produit par l’industrie de l’exploitation industrielle de granite  varie entre 6 500 F CFA et 13 650 F CFA la  tonne. Au niveau de la carrière de Gnambélégué,  ce sont 100 tonnes de granite concassé est produite par jour soit 3 000 tonnes par mois. 50% de la production sont vendues sur le marché local, les 30% sont vendues sur le marché des villes de l’intérieur et les 20% sont vendues sur marché de quelques pays de la sous-région (Soukpafolo Bitume Afrique (SBA), 2019).

2.2.2.4 L’exploitation industrielle de granite, une activité aux retombées  profitables aux riverains  

L’installation de l’entreprise de granite auprès du village de Gnambélégué est bénéfique pour les riverains. Afin d’écouler facilement sa production, elle reprofile régulièrement la voie d’accès du village. Ces travaux de reprofilage de la voie facilitent le déplacement des riverains vers la vile de Korhogo. Ce qui réduit le temps passé. Aussi, l’entreprise en électrifiant son site des travaux a aussi électrifié le village de Gnambélegué (photo 6).

Fig16_6.png

La photo 6 montre les poteaux implantés dans le village de Gnambélégué lors de l’électrification. L’électrification a été financée totalement par l’entreprise. L’exploitation de granite  modifie le milieu naturel faisant place à un milieu anthropique. Cette modification ne se fait pas sans conséquences.

2.2 Les problèmes environnementaux liés à l’exploitation industrielle de granite

L’exploitation de granite modifie le milieu naturel faisant place à un milieu anthropique. Cette modification ne se fait pas sans conséquences.

2.2.1 L’émission de poussière dans l’atmosphère

Dans la carrière industrielle la poussière est produite  lors  du concassage, le tamisage, le forage, la circulation des camions et engins, les explosions et l’abattage (photo 7).

Fig16_7.png

 La poussière issue du concassage du granite est constituée de silice (SiO2), Alumine (Al203), oxydes ferriques (Fe2O3), potasse (K2O), chaux (CaO), soude (Na2O) et magnésie (MgO) (Xavier de Soos, 2000). Les polluants sont constamment  émis dans l’atmosphère au niveau de la carrière industrielle. Cette poussière a des effets néfastes sur la population proche du site et les employés provoquant l’irritation de peau et des yeux et des maladies respirations telles que la toux et le rhume. Les personnes les plus vulnérables sont des enfants, des personnes âgées et les fumeurs.

2.2.2 Les gaz et les odeurs

Le fonctionnement des moteurs des engins et des camions engendrent des gaz et des odeurs. Le mélange de fumée des moteurs et des explosions issues de la carrière industrielle sont des facteurs sources de maladies respiratoires. 

2.2.3 La pollution sonore

Les bruits issus des tirs d’explosifs, le fonctionnement des moteurs des bennes et des engins, des sons des blocs de granite et des klaxons de recul des engins et des camions peuvent entrainer

Les bruits proviennent des tirs plusieurs conséquences dont selon (Xavier de Soos, 2000) agissent sur le champ de visuel, des comportements agressifs etc.

2.2.4 Pollution des eaux de surface

La vallée située non loin de la carrière industrielle reçoit les eaux pluviales. Pendant la saison pluvieuse, les eaux de ruissellement entrainent les débris de concassé dans la vallée (photo 8). Cette vallée est reliée au barrage de Koko. Ce qui signifie que le barrage de Koko est à son tour pollué.

Fig16_8.png

2.2.5 Ensablement des vallées

Les débris de granite dispersés dans l’enceinte de la carrière industrielle sont trainés par les eaux de ruissellement et se retrouvent entasser dans la vallée proche de la carrière de Gnambélégué (photo 9). Ce phénomène d’ensablement des vallées ne facilite pas d’écoulement normal des eaux de ruissellement.

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2.3 Les impacts de l’exploitation industrielle de granite

Ces impacts s’observent sur l’environnement physique et sur la population riveraine. 

2.3.1 Les impacts sur l’environnement physique

Les émissions des différentes particules telles que le dioxyde d’azote, le monoxyde de carbone, le dioxyde de  carbone, le dioxyde de soufre, l’ammoniac, l’acide nitrique dans l’air affectent la qualité de l’air de la zone et la couche d’ozone. L’émission de la poussière constituée de silice (SiO2), Alumine (Al203), oxydes ferriques (Fe2O3), potasse (K2O), chaux (CaO), soude (Na2O) et magnésie (MgO) (Xavier de Soos, 2000) dans l’atmosphère dégrade la couche d’ozone.

2.3.2 Les impacts sur la santé des populations proche des carrières

L’exploitation de granite porte atteinte à la santé des populations vivantes proche des carrières. Au cours de notre enquête, certaines maladies ont été enregistrées au sein de cette population liée à cette activité. Ces maladies sont enregistrées qu’en période de saison sèche (novembre-mai) selon le Directeur du CHR, 2019. Ces maladies sont dues à la poussière propagée lors des passages des bennes en partance et provenance des carrières tableau 3.

Fig16_10.png

Il ressort du tableau 3 que les populations autour de la carrière de Gnambélégué sont victimes de maladies environnementales. En effet, 58,82 % des enquêtés souffrent du rhume, 17,65 % d’infection des yeux et 23,53 % de toux. Celles-ci sont dues à l’inhalation régulière de poussières et de fumées. Le tableau montre que l’exploitation du granite a une incidence véritable sur la santé des populations qui sont à proximité de cette entreprise.

3 Discussion 

L’exploitation du granite, quel que soit le type, industriel ou artisanal, est exercée par les hommes et les femmes. L’unité industrielle utilise comme matériel une perforeuse, une concasseuse, une chargeuse, un pont à pesage, etc et emploie 74 personnes dont 66 d’hommes soit 89,19% et 8 femmes soit 10,81%. B. DIARRASSOUBA, B. FOFANA et A. L. TANOH (2016, p. 4) révèlent que l’exploitation artisanale de granite est essentiellement dominée par les femmes. Sur l’ensemble des sites, ils ont recensé 87% de femmes contre 13% d’hommes. L’exploitation de granite engendre des problèmes environnementaux qui ont une incidence sur le milieu physique et sur la santé des populations. Notre étude révèle que l’exploitation industrielle de granite a engendré les problèmes notamment l’émission de poussière dans l’atmosphère, les gaz et les odeurs, les bruits, la pollution des eaux de surface et l’ensablement des vallées. Ces problèmes ont des impacts sur le milieu physique et sur la santé des populations. La couche d’ozone se dégrade par la présence des particules en suspension dans l’atmosphère. Quant à la santé des populations, il ressort que les populations autour de la carrière de Gnambélégué sont victimes de maladies environnementales. En effet, 58,82 % des enquêtés souffrent du rhume, 17,65 % d’infection des yeux et 23,53 % de toux. Celles-ci sont dues à l’inhalation régulière de poussières et de fumées. SOOS de Xavier (2000, p. 25) révèle qu’en général, les poussières sont susceptibles de provoquer des irritations des yeux, de la peau et aussi du tractus respiratoire. L’inhalation chronique de poussières silicatées peut par contre à l’apparition de pneumoconioses : silicose,  pneumoconiose du houilleur, schistose, talcose, graphitose et autres pneumoconioses provoquées par ces poussières.

Conclusion

L’exploitation industrielle de granite dans la ville Korhogo est pratiquée par une population à dominance masculine. Cette activité crée de l’emploi. L’unité industrielle a embauché des jeunes des localités. Cependant, l’activité a engendré des problèmes environnementaux notamment l’émission de poussière dans l’atmosphère, les gaz et les odeurs, les bruits, la pollution des eaux de surface, la pollution sonore et l’ensablement des vallées. Ceux-ci ont une incidence sur le milieu physique et sur la santé des populations à travers la toux, les infections des yeux, et le rhume. Face aux problèmes environnementaux et leurs impacts créés par l’exploitation industrielle de granite à Korhogo, il est souhaitable de créer un puits de carbone autour du site.

Références bibliographiques

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DECRET N° 96-634 du 09 août déterminant les modalités d’application de la loi n° 95-553

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DIARRASSOUBA Bazoumana, FOFANA Bakary et TANOH  Ane Landry,  2017, « Exploitation artisanale des carrières de graviers à Bouaké: étude sociodémographique et environnementale d’une activité en expansion ». Revue canadienne de géographie tropicale/Canadian journal of tropical geography [En ligne], Vol. (4) 2. En ligne le 31 décembre 2017, pp. 11-21. URL: http://laurentienne.ca/rcgt

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JACQUOT Anne-Cecile, 2010« Quelle gouvernance des projets d'ouverture et d'extension de carrières ? », Revue scientifique sur la conception et l'aménagement de l'espace 12p.

KOUAME Kouadio Arnaud, AYEMOU Anvo Pierre et N’GUESSAN Kouassi Guillaume, 2017, «Impact environnemental et sanitaire de l’exploitation artisanale de dôme de granite dans la ville de Daloa (centre-ouest de la côte d’ivoire) », Revue Ivoirienne de Géographie des Savanes, Numéro 3, 14p.

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Auteur

1Maitre-assistant, Département de Géographie, Université Peleforo Gon Coulibaly (Korhogo - Côte d’Ivoire), f.kassi@yahoo.fr               

 

Catégorie de publications

Date de parution
31 déc 2020